« nous vivons dans une société, nous ne pouvons pas y prêcher si ce n'est avec tendresse et douceur. Pourquoi ? Car nous ne détenons pas de « pouvoir » entre nos mains. Aussi, cette société représente tout notre «capital », nous ne devons donc pas faire fuir la société. » Fin de citation.
Cf. « ïjâbat as-sâël » ( p.521 )